Friday, March 12, 2010

Les îles dans le réseau

Après avoir lu les Jours verts au Brunei, qui m'a beaucoup plu, il avait une envie de lire déjà un roman complet de Sterling.

Le certain consiste en ce que dans les Îles dans le réseau Sterling développe beaucoup plus l'univers qui nous a présentés dans les Jours verts au Brunei, pour le combler des détails. Cet univers n'est pas si cyberpunk (dans le sens le plus littéral : il n'est pas si ciber, pas si futuriste) comme ce l'est le montré par Gibson, mais il est plus dans un contact avec l'actuelle réalité et bénéficie, porqué ne pas le dire, de la plus grande aisance de Sterling à l'heure d'écrire un roman.

Le monde d'Îles dans le réseau présente quelques États qui ont vu comment grâce au réseau apparaissaient les nouveaux acteurs dans la diplomatie globale. Ces acteurs sont, principalement, grandes corporations qui partagent le pouvoir, la délibération et la table de négociations avec les États.

Cependant, le monde comme Sterling le montre semble inquiétant. Chaotique, violent, incontrôlé, avec tout l'espoir déposé du triomphe d'une chance de gouvernement global (un coalicción des États et de corporations) qui définit le succès à coups de l'assimilation de toutes les régions qui n'ont pas adhéré au coalicción.

La vision, une paire de décennies après, pourrait sembler atteinte dans ces jours dans lesquels des régions grossières d'áfrica se montrent incapables de freiner le contrôle de quelques tribus de pirates qui obligent les armateurs à voyager avec sa propre défense privée en même temps qu'une famille unique devient «le malheur nécessaire» et est capable d'influer énormément sur la vie de milliers de Mexicains. Les deux cas démontrent que quand l'État faiblit de nouvelles formes d'organisation surgiront pour suppléer à ces manques. Un problème consiste en ce que les États ont l'habitude de s'adapter lentement et pour quand ils voudront se rendre compte ce type de situations peuvent être devenus plus fréquentes. L'autre est que la logique de l'État est celle de réduire toute opinion dissidente (mais c'est une autre histoire).

Évidemment, ces nouvelles organisations, dans lesquelles on ne contourne pas au rendement économique mais il ne se place pas au-dessus du bien-être de ses membres peuvent avoir des transfonds obscurs «d'un cártel mafieux» ou, comme dans le cas du rizome de Sterling, être admissible d'un point de vue social.

Le grand doute est : si nous donnons par fait que ce type d'écosystèmes de nouveau un coin peuvent surgir (ou ils surgissent) et que le revers ténébreux va se développer bien qu'elle ne lui soit pas donnée, la couverture légale (parce que c'est pourquoi il est ténébreux et ils vont défier pour cela au pouvoir): ne vaudrait-il pas la peine de donner une plus grande couverture et une facilité pour que les organisations qui doivent compenser la balance ne trouvent pas de cales pour son développement ?

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